La centième brebis... celle pour laquelle le berger est prêt à risquer les quatre-vingt-dix-neuf autres. Car elle a du prix à ses yeux justement parce qu'elle est perdue. Ces pages nous invitent à envisager l'autre, quel qu'il soit et surtout s'il est fragile et isolé, avec le regard de Jésus. Mais pour y parvenir, il faut avoir avec Lui une relation qui dépasse une piété de surface, un "conformisme évangélique" minimaliste. L'auteur dénonce ce formalisme, mais surtout convie le lecteur à une relation personnelle avec le Seigneur, ouvrant sur un engagement renouvelé et sans concession, dans l'amour pour le prochain éprouvé.