« Celui qui croyait au ciel et celui qui n’y croyait pas… » disait le poète. Comme Clément qui y croyait beaucoup et comme Pierre-Jean qui n’y croyait pas. Tous les deux épris de liberté et de justice, unis dans un même combat contre le nazisme, contre l’intolérance. Et puis Richard, le salaud, l’Allemand des jeunesses hitlériennes, celui qui tuerait père et mère au nom d’un autre dieu, d’un faux prophète fanatique et barbare. Les bons et les méchants ? Les lâches et les courageux ? Non, ce n’est pas si simple. C’est ce que nous dit cette histoire sans manichéisme.
Ce sont ces questions-là que nous posent les personnages de N’aie pas peur Sarah ! Au-delà du roman d’aventures vécues, cette histoire nous projette le film de la vie, du parcours, du chemin, c’est un jeu de pistes où il y a des réponses. Parmi celles-là, une des plus belles est le regard de Sarah dans celui de Pierre-Jean.
Une histoire au rythme enlevé, d'où la lumière jaillit çà et là d'une Bible ouverte…