Dans un texte poignant et plein de poésie, Tatijana raconte ici de nombreuses anecdotes de sa vie, de quatre à neuf ans. Elle découvre deux mondes : le monde tzigane de son père et celui non tzigane de sa mère.
De l’Alsace à l’Europe Centrale en passant par la Côte d’Azur, elle ramasse coups, coquillages et fleurs des champs. La tendresse, elle la puise auprès de son chien et des chevaux. Son cœur, elle le sème. Elle le perdrait peut-être sans le secours d’une aile mystérieuse. Conduits par sa petite main d’enfant nous allons vers la grâce divine car son histoire est celle du pardon qu’elle a si bien su accorder.