La vie d'Yvonne-Aimée est un mystère par la présence en elle de charismes, dont celui de la pénétration des cœurs. Mais essentiellement c'est une femme équilibrée, simple, joyeuse, d'une bonté sans naïveté. Elle est décédée au monastère de Malestroit (Morbihan) en réputation d'héroïne nationale de la Résistance et en "odeur de sainteté". Auparavant elle avait été une jeune chrétienne engagée bénévolement au service des pauvres dans les bidonvilles qui entouraient alors Paris.